Dans la chaleur de l'été - Partie 1

12 juillet 2021 - 14h - à quelques kilomètres de Lyon, un sentier au bord d'une rivière.

Retourner sur les terres familiales a cet inconvénient d'être un peu privé d'intimité lorsqu'une envie impromptue pointe le bout de son sexe. Avec Elle, nous sommes à la recherche de temps, de temps longs, rien qu'à nous.

Qu'à cela ne tienne !

Je la retrouve au croisement de deux chemins pour une balade qui signera nos retrouvailles après ces quelques mois compliqués, elle à Paris et moi à l'étranger. Nos amants et amantes respectifs ne sont pas venus à bout de notre désir l'un pour l'autre, une flamme bien décidée à ne jamais s'éteindre, pour mon plus grand plaisir.  

Les premiers mètres sont lents, chaque pas est l'occasion de s'embrasser, de retrouver ces sensations si délicieuses qui font notre alchimie. Ses doigts dans les miens, un premier baiser, comme pour se connecter l'un à l'autre, un second pour se goûter, et un troisième pour réveiller notre désir. La promenade s'annonce intense.

La discussion est si naturelle qu'en quelques minutes les nouvelles sont rattrapées. La bulle temporelle s'installe doucement et nous invite petit à petit à oublier la réalité. 

L'été est là. Il fait chaud, très chaud et le soleil tape fort sur nos nuques. Les pauses baisers sont de plus en plus longues. Il n'y a quasiment personne sur ce petit chemin ombragé et nos corps commencent littéralement à brûler. Ma queue ne cesse de durcir sous ses caresses, l'excitation monte de plus en plus pendant que des cyclistes nous dépassent. 

Il nous faut un coin plus tranquille. Elle me dirige vers un petit sentier qui s'enfonce dans les bois. Une minuscule clairière au bord d'un petit bras d'eau, un peu d'ombre, un peu d'herbe pour s'allonger.

Quel bonheur de se retrouver l'un contre l'autre, enfin ! Nos peaux sont brûlantes, perlées de sueurs après presque deux heures de marche. Assise sur moi, elle peut apercevoir le chemin à une cinquantaine de mètres, et les promeneurs qui passent au loin sans nous voir. Elle soulève sa robe pour mieux se caler sur ma queue qui ne demande qu'à sortir. Ce plaisir attendra.

Je m'allonge sur le dos, et l'invite à venir s'assoir sur mon visage. Je disparais sous sa robe et pose immédiatement mes lèvres sur ses cuisses. Sa culotte noire laisse transparaitre sa chatte trempée. Je l'écarte pour venir glisser ma langue entre ses cuisses. Les feuilles bruissent sous le vent pendant que ma bouche savoure chaque gorgée de plaisir qu'elle m'offre. C'est si bon de la sentir sur moi, les cuisses ouvertes pour accueillir ma langue. Je la sens descendre un peu plus sur moi à chaque coup de langue qui fait mouche. Mes mains sur son corps,  je sens qu'elle est enlève sa robe pour découvrir ses seins. Elle plaque mes mains contre sa poitrine, nos corps collent, transpirent, je ne cesse de lécher, de dévorer la dévorer, de sentir chaque cm de sa chatte contre mon visage...son clito sur ma langue couverte de son excitation. 

Pendant que je la lèche avec ardeur, je sens ses mains déboutonner mon pantalon. Elle sort mon sexe et me branle tout doucement. 

Elle glisse sur le coté et prends ma queue en bouche, d'un coup, enveloppant mon gland d'une douce chaleur. Mon regard se perd dans le ciel, aucun nuage, une toile infinie de bleu, sa langue qui parcourt ma queue. 

La nature est belle, mais pas toujours confortable. Nos retrouvailles rêvées attendront encore un peu, nos corps se consument d'envie.

Que la frustration est une douce torture.

Dans un soupir, me voilà debout prêt à me rhabiller, la queue dressée face à cette rivière, le regard tourné vers le chemin.  Sans m'y attendre une seconde, je sens ma queue happée par sa bouche. Ses lèvres, comme une douce caresse, vont et viennent, glissant au rythme de mon désir. Elle affermit sa prise et je perçois mon pouls gonfler contre sa langue avide. Je vois, je sens qu'elle a faim de moi, alors qu'elle se délecte des premières gouttes qui perlent au bout de mon gland. Elle le lèche, l'embrasse et je fonds, mes yeux quittent les siens pour le ciel.
Sa langue danse sur mon sexe qui frémit de surprise lorsqu'elle l'agrippe. Elle l'engloutit, pressant ses mains contre mon cul pour m'empêcher de lui échapper. Comment le pourrais-je? Je suis à sa merci. Elle me décrit l'intensité de son ardeur quand elle caresse mes couilles contre son visage, sa bouche, sur sa langue, et je sais que je la tiens autant que je lui appartiens. 

Elle dévore ma queue à nouveau. Ma respiration s'accélère avec ses mouvements, et alors que je sens l'explosion poindre au bout de sa langue, elle se retire dans un sourire. Pour être honnête ça faisait très très longtemps qu'on ne m'avait pas sucé si bien, avec autant d'envie et de désir.  

Elle sait que je veux faire durer cet état de transe, et me rhabille avec soin, comme on rangerait un objet précieux. Elle sourit aux deux promeneurs qui ont eu la bonne idée de ne pas s'arrêter pour regarder.

Excités l'un et l'autre comme jamais, nous reprenons le chemin de la ville pour poursuivre la journée, et la soirée.

 

Fin de la première partie


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