Une insoutenable envie

Ouvrir les yeux et penser à toi. Ce dimanche l'envie ne me quitte pas. insoutenable...

Si tu savais,  j’ai tellement envie que tu me suces, puis que tu t’assoies sur moi, de te bouffer les seins, de gicler sur ta chatte, de te faire jouir. Aujourd'hui j'en peux plus, comme plein de moments dans la semaine, dans le mois, dans la nuit, à 14h comme la, à 19h, depuis ce matin ça me brule le corps. Une sensation indescriptible, qui me consume, chaque centimètre de ta peau semble m'appeler, m'attirer, je veux tout gouter, tout sentir, tout boire. 

J'ai envie de t'attraper, de t'attacher. je veux arracher tes fringues, en t'embrassant. je veux te mordre. je veux t'entendre me dire baise moi, lèche moi, gicle-moi dessus, je veux marquer ton corps de mon sperme, le laisser couler sur toi, l'étaler.

Envie de sentir ton envie d'avoir ma queue dans ton cul, d'avoir mes doigts dans ton cul et ma queue dans ta chatte, j'ai envie de te prendre partout à la fois. De me perdre partout, comme je t'écris la, comme ma pensée je veux laisser aller mes gestes sans codes, comme si j'apprenais à dessiner sur une page blanche, sans cadre, sans règle, juste la liberté de vivre un désir sans borne, un désir sans jugement, sans barrière. J'écris comme ça. Dans l'ordre des mes pensées, comme un voyage non linéaire dans nos envies, nos moments récents, oins récents, je reviens au début, je gicle, plusieurs fois pour mieux t'enlever ton pantalon à nouveau, pour mieux redécouvrir ta peau mille fois...
Je te vois à genou devant moi, tu me sucerais pour me faire gicler au dessus de tes seins...que tu sois folles de me voir couler entre tes seins, de regarder lentement mon foutre qui dégouline jusqu’à ton nombril, puis ta chatte, pour finalement te caresser avec...partout.
je m'imagine en train d'enlever tes vêtements pendant que tu as déjà commencé de faire des va et vient sur ma queue. Tu me tournes le dos. j'écarte tes fesses, et rien que l’idée de m’engouffrer dans ton cul me fait gicler, et tu te cambres, encore et toujours, je n'en peux plus !
Envie de te lécher dans une rue, comme nos premières envies, sentir que tu es trempée du bout des doigts et descendre pour juste te lécher en pleine rue, la nuit et ou en journée, dans les rues de la Croix-Rousse après notre soirée dans ce petit bar que tu aimes tant, ou ailleurs dans une ville inconnue, juste me voir la langue remplie de toi, tes cuisses contre mes tempes. te lécher sans fin, sans chronomètre, sans limite de temps, jusqu’à ce que l'envie laisse place à encore plus d'envie...images qui défilent sans cesse.
envie que tu recraches doucement mon foutre sur tes seins, foutre que je dépose dans ta bouche juste après t'avoir lécher. en quelques secondes....que ta peau colle à tes vêtements. que je sois sur toi. tout le temps.
c'est toi qui fabrique toutes ces images, des images d'un amour incroyable, des images possible uniquement grâce à cet amour incroyable.

Depuis ce matin je ne pense qu'a ça. sans interruption. sans pause. sans répit. je suis exténué de désir, et j'adore ça






Commentaires

  1. Cela a t il pu être assouvi ? ;)

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    1. En solitaire dans un premier temps et à deux je vais bientôt le partager dans un nouvel article

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    2. heureuse pour toi :)

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