Coup de chaud

La canicule étouffait les rues et la chaleur épuisait les corps. Une fois les volets fermés, la maison dans laquelle nous passions nos vacances restait fraiche mais les siestes crapuleuses étaient souvent écourtées par les activités des enfants ou les activités diverses proposées par nos hôtes.

Attirés par la fraicheur délicate des sous bois environnants, nous voila partis en promenade.

Autant vous dire que la balade s'est rapidement transformée en recherche du coin parfait pour batifoler au grand air. Les chemins principaux de la forêt ressemblaient plus à une autoroute pour touristes à vélos qu'à la clairière bucolique qui accueillerait nos ébats.

Nos prenons donc la poudre d'escampette pour suivre les itinéraires bis. Des chemins étroits, parsemés de buissons de ronces, qui serpentent entre les arbres. Il est 15h30, l'air est chaud mais le soleil ne traverse pas l'épaisse canopée. Un arbre au milieu des sentiers, attire notre attention. Pas de piquant autour de ce vieux chêne fier et fort. Un baiser contre arbre, comme c'est agréable. Elle s'adosse au tronc, son teeshirt s'accrochant aux plis de l'écorce brune. Les sonnettes des vélos tintinnabulent non loin, ce sera bref et intense. 

Quand on s'embrasse à pleine bouche comme ça je bande vite. Elle le voit, elle le sait et ça l'excite. Elle déboutonne son short kaki qui à peine ouvert se retrouve sur ses chevilles. Elle se tourne, fait face au tronc gigantesque et cambre son dos pour m'offrir son cul encore caché par le bas de son maillot de bain.

Je sors ma queue. Je la colle contre sa chatte et je la frotte lentement. Seul le maillot de bain sépare nos corps gorgés d'envie. D'une main je baisse le maillot et je me glisse d'un coup en elle. Ses mains sont plaquées contre l'arbre, les miennes sont plaquées contre ses hanches. Agrippée par la taille elle se laisse prendre fort, et vite. Plus fort, gémit elle. Il aura fallu à peine une minute de ces mouvements puissants pour que nos corps soient couvert de sueur. Sa peau brille, mes doigts glissent contre sa peau, c'est délicieux. Que j'aime être en elle, sentir qu'elle se cambre pour mieux se faire prendre. Elle se redresse, tout en gardant ma queue bien calée dans sa chatte. Elle est presque debout, je suis obligé de me baisser un peu pour ne pas avoir trop mal. Elle tourne la tête pour m'embrasser au moment ou elle jouit. Je sens moi aussi la jouissance arriver. 

Elle se colle à coté de moi pour me branler, fort. Je gicle sur le tronc à défaut d'un couteau pour laisser nos initiales.

Nos repartons sur les chemins, main dans la main.










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