Peu importe comment, baise-moi

Il faut que je sois honnête avec vous, jamais je pensais écrire sur un blog. Ma vie de confinement est plus que chargée. j'ai le temps de rien. Question intimité on repassera : je suis dans la maison de ma sœur avec toute sa ptite tribu. Quand il m'a demandé de lire son blog, j'ai d'abord cru à une plaisanterie. Mais quand il m'a demandé d'écrire alors la je me suis mise à rougir. Que veux tu que je raconte de plus que ce que tu dis déjà? 

C'est pas que j'ai rien à raconter. il y en a des jolies parties de plaisir avec lui. mais j'écris pas ça, je lui laisse. Comme à son habitude, quand il a une idée en tête il ne la lâche pas. Ça me plait d'habitude mais la je voulais pas. On a échangé quelques sms et je me suis laissée convaincre à une condition : que je sois pas obligée de raconter une de nos baises en détails. 

Si vous lisez un peu nos aventures, vous savez que j'adore me faire lécher. J'adore qu'on me bouffe la chatte et qu'il me le dise comme ça. Quand il le fait pas, même si tout est parfait, je suis colère. Je peux pas m'en passer, c'est la meilleure des cames sur terre. j'ai connu beaucoup de langues, parfois en duo vigoureux sur mon clitoris. Je peux pas vous le raconter ici, sa langue n'était pas de la partie. Pas certaine qu'il le prenne bien (:

Je vais me concentrer sur une autre sensation : j'aime qu'il m'étrangle. 

sans y penser avant. je savais que ça se faisait mais ça ne m'avait jamais excitée. 

j'aime qu'il me coupe le souffle en caressant mon cou pendant qu'il me baise. Je ne contrôle plus rien, les barrières sautent. j'ai la sensation de ne plus avoir de limite. je m'autorise à devenir chienne. La douceur de ses baisers et la pression de sa main droite sur ma gorge, je dégouline. il pourrait tout me faire dans ces moments là. Me gifler, me pincer très fort, me griffer au sang, fesser mon cul que je lui offre ma chatte.

Le vertige de ne pas savoir jusqu’où ça peut aller m’électrise. 

C'est tout pour moi. c'est déjà beaucoup.

 

 Elizabeth